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Comment gérer quelqu'un qui nous gonfle ?

Explicitation du formats et des règles de prise de parole.

Questions d’origine :

Ce serait plutôt comment se gérer soi, on ne peut pas gérer la personne.

Comment ne pas se comporter vis à vis de la personne pour ne pas lui faire ressentir, ou comment se comporter pour améliorer ?
C’est avoir quelques astuces pour améliorer / ne pas empirer la situation. De toute manière ça va se sentir : comment améliorer le conflit ?

Ne pas ignorer les tensions. On ne peut pas advitam eternam contourner nos sentiments, ça ressortira. Des fois ne serait-ce pas l’honnêteté qui crée le conflit ? Exprimé ou non, le conflit est là. Des fois mieux vaut garder les choses pour soi car si on avait tout dit en permanence. Se voir en dehors du cadre du travail, engager un dialogue mais il faut avoir la force de le faire.

Il faut décharger les choses à un moment choisis plutôt que subit. Cadrer l’énergie négative dans un endroit particulier. Par exemple entre quelques personnes.
Quand quelqu’un me pose un problème ç_a me renvoit des choses pas réglées chez moi ; Avec cette grille de lecture c’est plus facile d’accepter l’autre. Ce qu’on aime pas chez les autres c’est un trait de caractère qu’on possède.
Il faut avoir envie d’améliorer les choses. Les personnes qui nous gonflent, ça arrive, des fois ça passe pas et on a pas envie d’alelr créer ce lien. «Autre avis : il y a toujours des solutions sauf si on est butté. Des fois on a pas la force, quand quelqu’un me fait chier, elle me fait chier.
En parler. En parler c’est libérateur.
Se tolérer. Il y a toujours des affinités, mais il faut savoir mettre de l’eau dans son vin. Il faut moduler en fonction de comment tout le monde travail.

Des tempéraments qui ne facilitent pas. Parfois il y a des tempéraments qui ne rentreront pas dans un fonctionnement positif. Dédier des temps / rendre visible les limites de chacun permet de limiter ces déviances.


Favoriser l’interconnaissance. Par exemple avce des animations spécifiques, des temps de convivialité (goûter,...), mais aussi le provoquer par des répartitions des tâches qui favorise les mélanges, lorsque cela n’engage pas trop un résultat final brûlant (car cela pourrait réduire l’efficacité pour un temps).
Il faut penser à l’efficacité. On travail bien avec le spotes, mais les isolés ont du mal à avancer de leur coté. On peut équilibrer en formalisant le répartition / sous-groupes de manière à ce qu’elles ne soient pas subies. En composant avec les limites de chacun. On ne crée pas un climat de confiance / ne met pas tout en place : ni d’un coup, ni sur des sujets brûlants, ni dans l’urgence.
Dans un groupe quand quelqu’un est isolé / ou quelques personnes sont isolées, comment l’inclure / les inclures. Je ne vois pas d’intérêt à sauter la marche pour que chacun soit uni et soudé. Exemple dans notre groupe d’inté, très proches avec une personnes, difficulté à créer un groupe plus élargit.

Définir des accords de groupes. Permet de négocier un cadre acceptables par tous, en ce sens qu’il ne remplit pas nécessairement les préférence de chacun, mais ne percute les limites de personne (rempli les besoins minimaux de chacun).

Casser les groupes affinitaires. Pour l’histoire de casser les groupes d’afinité, c’est une bonne chose car sinon on crée un entre soi sans créer de lien vers l’extérieur / par petits groupes d’affinité déséquilibrés. Il faut que le groupe puisse bénéficier des apports de chacun.
Apprendre à identifier et exprimer ses émotions. Mettre en place des rituels pour le faire.

La communication non violente. Permet d’exprimer ses limites / besoins , et d’objectivier le fait qu’il y ait ou non des solutions. Si les limites de deux personnes se percutent / que les besoins de l’un ne permettent pas l’accomplissement de ceux de l’autre, il peut ne pas y avoir de solution. Séparer ses besoins de ses préférences c’est la clé.

Mais comment on fait quand c’est nous qui gonflons les autres membres du groupe ? Quand on sait que notre comportement ne va pas, difficile de savoir quoi faire.

Débrief sur le format d'animation : comment c’était de parler dans ce cadre ou de ne pas y aller ?